Sous les vents de Neptune, Fred Vargas
Je vous avais parlé ici de mon engouement pour le roman suivant, Dans les bois éternels ; il se trouve que j'avais, au même moment, erré malencontreusement une petite heure à la gare de l'Est. C'était les soldes, et ya plein de nouveaux magasins, maintenant qu'ils ont tout refait la gare, mais c'était l'époque où je me trimballais toujours avec mon mac pour pas perdre le temps du train et quand même travailler, alors avec trois jours d'habits bien pour sortir, et d'autres pas bien pour le camping, j'ai pas voulu me charger encore plus avec moult top et force robes (quelle abnégation....). Enfin bref, je me suis retrouvée à trainer chez Payot. Et bon, là rien à dire, hein, un livre c'est pas ça qui prend de la place. Avec sur le présentoir ce roman. Et, Dans les bois éternels ils précisent bien qu'il faut avoir lu Sous les vents de Neptune. Donc, bon, moi j'obéis. Et voilà comment ce livre s'est retrouvé dans ma PAL. Puis dans mon sac, puis dans mes mains, et vous connaissez la suite.
Pour ce qui est de l'objectivité de lecture, j'avoue que vu comment j'avais apprécié le précédent (qui est en fait le suivant dans un autre référentiel si vous avez bien compris) je suis partie pleine d'entrain. Et j'avais bien raison!!
Pour ce qui est de l'objectivité de lecture, j'avoue que vu comment j'avais apprécié le précédent (qui est en fait le suivant dans un autre référentiel si vous avez bien compris) je suis partie pleine d'entrain. Et j'avais bien raison!!

Petite parenthèse pour vous dire que la couverture est super chouette. On voit à peu près, pour changer. Une image en noir et blanc, genre la vidéo de The Ring, étrange, presque angoissante ; mais, pour changer, ça colle très bien au contenu du livre.
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Une jeune fille assassinée par trois coups de poinçon, un ivrogne qui ne se souvient de rien mais que tout accuse... Pour le commissaire Adamsberg, il n'y a aucun doute : le passé refait surface. Le tueur au trident est de retour. Celui-là même qui avait poignardé la fiancée de Raphaël, le frère du commissaire, des années plus tôt dans leur contrée natale des Pyrénées.
Seul hic : l'homme est mort depuis vingt ans...
Se pourrait-il qu'Adamsberg, cet homme rêveur et sensible, coure après un fantôme et perde la raison ?
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Un style toujours aussi percutant. Tout va vite, pas de place pour le superflu. L'intrigue se déroule, tout s'enchaîne, de l'un et de l'autre côté de la planète. Les retours vers le passé rattachent les romans à un univers plus vaste, et l'on découvre au fur et à mesure l'adolescence du commissaire. Un truc facile pour inciter le lecture à lire l'ensemble, mais un truc qui marche!
Les personnages sont toujours aussi bien décrits. Les expressions des canadiens sont juste à se rouler par terre! Quant à Adamsberg, ses sentiments, ses réflexions, tout me fait l'aimer de plus en plus! Les personnages secondaires ne sont pas oubliés : on croise Danglard presque autant qu'Admasberg.
Rien à dire, il semble que je sois condamnée à adorer tous les Vargas que je dévore...
A votre tour?
Une jeune fille assassinée par trois coups de poinçon, un ivrogne qui ne se souvient de rien mais que tout accuse... Pour le commissaire Adamsberg, il n'y a aucun doute : le passé refait surface. Le tueur au trident est de retour. Celui-là même qui avait poignardé la fiancée de Raphaël, le frère du commissaire, des années plus tôt dans leur contrée natale des Pyrénées.
Seul hic : l'homme est mort depuis vingt ans...
Se pourrait-il qu'Adamsberg, cet homme rêveur et sensible, coure après un fantôme et perde la raison ?
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Un style toujours aussi percutant. Tout va vite, pas de place pour le superflu. L'intrigue se déroule, tout s'enchaîne, de l'un et de l'autre côté de la planète. Les retours vers le passé rattachent les romans à un univers plus vaste, et l'on découvre au fur et à mesure l'adolescence du commissaire. Un truc facile pour inciter le lecture à lire l'ensemble, mais un truc qui marche!
Les personnages sont toujours aussi bien décrits. Les expressions des canadiens sont juste à se rouler par terre! Quant à Adamsberg, ses sentiments, ses réflexions, tout me fait l'aimer de plus en plus! Les personnages secondaires ne sont pas oubliés : on croise Danglard presque autant qu'Admasberg.
Rien à dire, il semble que je sois condamnée à adorer tous les Vargas que je dévore...
A votre tour?