La main d'Obéron, Roger Zelazny

L'avant dernier de cette première partie "Princes d'Ambre". Toujours aussi passionnant!
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Un péril mortel menace le royaume d'Ambre. Une lèpre noire envahit inexorablement la Marelle, ce labyrinthe magique qui permet aux membres de la famille royale de voyager d'ombre en ombre et de manipuler le temps.
Est-ce le fait d'un des princes qui, avide de pouvoir, n'hésiterait pas à mettre en jeu l'existence même du royaume ?
Faut-il y voir l'intervention des puissances maléfiques qui hantent les Cours du Chaos ? Ou bien la main d'Oberon, le roi disparu dont les princes d'Ambre redoutent jusqu'au souvenir ?
"Un péril mortel menace le royaume d'Ambre. Une lèpre noire envahit inexorablement la Marelle, ce labyrinthe magique qui permet aux membres de la famille royale de voyager d'ombre en ombre et de manipuler le temps.
Est-ce le fait d'un des princes qui, avide de pouvoir, n'hésiterait pas à mettre en jeu l'existence même du royaume ?
Faut-il y voir l'intervention des puissances maléfiques qui hantent les Cours du Chaos ? Ou bien la main d'Oberon, le roi disparu dont les princes d'Ambre redoutent jusqu'au souvenir ?
Avec ce nouvel opus, nous quittons (presque) le cadre familial, pour se concentrer sur un péril à beaucoup plus grande échelle, puisque le monde d'Ambre en entier semble se corrompre, petit à petit, par des forces maléfiques.
Au bout de trois tomes il fallait bien renouveler un peu l'intrigue, ou plutôt l'élargir.
Même si, personnellement, j'aime bien les querelles intestines, bien plus que lorsqu'il s'agit de sauver le monde. M'enfin, c'est comme ça. faisons avec.
Bien sûr, cela n'enlève rien à la qualité du roman, ni au style de l'auteur, toujours aussi efficace.
J'étais même super bluffée par l'un de personnages, qui commençait, il faut bien reconnaître, à me porter sur le système. Je n'en dirai pas plus, pour ne pas casser le suspense. Juste qu'à la dernière ligne, et ben je me suis sentie bien bête, bien bien bête, mais aussi super amusée de voir comment l'auteur avait réussi à jouer avec cette partie de l'histoire. Les passagers du bus 194 se demandent encore pourquoi cet éclat de rire, puis ce sourire béat que je n'ai pu retenir...
Au bout de trois tomes il fallait bien renouveler un peu l'intrigue, ou plutôt l'élargir.
Même si, personnellement, j'aime bien les querelles intestines, bien plus que lorsqu'il s'agit de sauver le monde. M'enfin, c'est comme ça. faisons avec.
Bien sûr, cela n'enlève rien à la qualité du roman, ni au style de l'auteur, toujours aussi efficace.
J'étais même super bluffée par l'un de personnages, qui commençait, il faut bien reconnaître, à me porter sur le système. Je n'en dirai pas plus, pour ne pas casser le suspense. Juste qu'à la dernière ligne, et ben je me suis sentie bien bête, bien bien bête, mais aussi super amusée de voir comment l'auteur avait réussi à jouer avec cette partie de l'histoire. Les passagers du bus 194 se demandent encore pourquoi cet éclat de rire, puis ce sourire béat que je n'ai pu retenir...