Promise me, Harlan Coben
J'avais lu quelques articles sur vos blogs respectifs à propos de cet auteur, qui m'avaient donné envie de m'y mettreà mon tour. J'ai donc profité de ma dernière tournée à la bibliothèque pour emprunter, et en anglais s'il vous plaît, Promise me. Une lecture qui s'est révélée largement à la hauteur de mes attentes.
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Last seen in bestseller Coben's Darkest Fear (2000), Myron Bolitar, former basketball star (Boston Celtics) turned sports and entertainment agent and occasional knight in shining armor, is back in fighting form in his action-packed eighth thriller. For the past six years Myron has been leading a quiet life, much of it at his parents' old house in Livingston, N.J. A new girlfriend, Ali Wilder, a 9/11 widow, is helping to bring him out of his shell. Concerned that Ali's teenage daughter, Erin, and Erin's friend, Aimee Biel, might fall in with the wrong crowd, Myron gives them his contact information in case either of them feels she needs help. Aimee later calls him in the middle of the night for a lift to a friend's house, on condition that her request remain a secret. When Aimee turns up missing in circumstances mirroring those surrounding another vanished girl, Bolitar himself becomes a suspect in her disappearance and must use his wits and martial arts skills to uncover the truth.
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En quelques mots, ce roman m'a fait passer un très bon moment.
Je ne connaissais pas Coben, si ce n'est de nom, et par conséquent encore moins son personnage principal, Myron, qui visiblement était déjà apparu dans quelques un de ses livres. Les détails que nous fournit l'auteur au fur et à mesure sur ce personnage font qu'il n'est absolument pas indispensable de lire cette série dans l'ordre.
J'ai beaucoup aimé le caractère de Myron, ainsi que les relations qu'il entretient avec Win son meilleur ami, Big Cindy, Esperanza etc. Je pense d'ailleurs que je me plongerai dans la série, pour vivre à nouveau leurs aventures.
L'intrigue est bien montée, le suspense est ménagé, bien que les informations soit amenées au fur et à mesure, et non dans les deux dernières pages, comme on peut en avoir l'habitude chez Christie. Le lecteur est donc d'emblée pris au jeu, qui pour ma part a très bien fonctionné!
Pour les anglophones, le vocabulaire est assez simple, si ce n'est quelques allusions en argot ; mais l'ensemble se lit vraiment très bien. Moi qui avait abandonné dernièrement mes lectures en VO, je me suis plongée à nouveau avec délices dans la langue de Shakespeare!
Un bilan très positif, auquel je m'attendais, au vu de vos articles tous assez unanimes! N'hésitez pas d'ailleurs à me conseiller des titres pour que je continue dans ma lancée!!